Vu, hier soir, au cinéma Iris de Questembert, ce film si singulier : « Shirley », de Gustav Deutsch. Le réalisateur a mis en mouvements (très peu de mouvements...) treize toiles d’Edward Hopper, avec une direction artistique époustouflante, afin de raconter une histoire tout en pudeur et en intériorité qui court sur une trentaine d’années. Un film sur l’Amérique, sur l’art et le cinéma, sur la liberté et l’engagement... Pour cinéphiles seulement (peu de scènes d’explosions et quasiment aucun gag !).
Merci l’Iris !
Et pour lire une « vraie » critique du film : http://www.debordements.fr/spip.php...
Vu, hier soir, au cinéma Iris de Questembert, ce film si singulier : « Shirley », de Gustav Deutsch. Le réalisateur a mis en mouvements (très peu de mouvements...) treize toiles d’Edward Hopper, avec une direction artistique époustouflante, afin de raconter une histoire tout en pudeur et en intériorité qui court sur une trentaine d’années. Un film sur l’Amérique, sur l’art et le cinéma, sur la liberté et l’engagement... Pour cinéphiles seulement (peu de scènes d’explosions et quasiment aucun gag !).
Merci l’Iris !
Et pour lire une « vraie » critique du film :
http://www.debordements.fr/spip.php...