Septembre 2016 : Quel avenir pour l’école de musique ?
28 mars 2016, 16:01, par PRAT
Bonjour,
Hélas, en ces périodes de restrictions budgétaires, c’est comme d’habitude la culture qui trinque. Notre école de musique de Nivillac est dans un cas un peu similaire, même si dans l’immédiat on ne parle pas de fermeture. Nous avons proposé récemment à Arc Sud Bretagne que les écoles de Nivillac et Muzillac deviennent compétence communautaire, mais visiblement, la musique ne fait pas partie des priorités des membres du bureau d’ASB (alors que la compétence culture existe !). Muzillac va faire cavalier seul. Tant mieux pour eux s’ils en ont les moyens, mais quid des enfants des communes environnantes ?
Faute de mieux, nous avons dû demander pour la première fois en 2015 le prix coûtant des cours aux élèves n’habitant pas sur la commune et beaucoup ne sont pas revenus, les parents ne pouvant supporter de telles charges. Des enfants ayant commencé l’apprentissage d’un instrument se retrouvent sans rien, ou obligés de parcourir des kilomètres pour continuer. C’est toute une mission d’éducation à la culture musicale qui va disparaître localement. L’inégalité des moyens entre les villes et les campagnes devient plus que jamais d’actualité avec ces cas qui, j’imagine, ne doivent pas être isolés dans l’hexagone.
Bon courage pour la suite.
Bonjour,
Hélas, en ces périodes de restrictions budgétaires, c’est comme d’habitude la culture qui trinque. Notre école de musique de Nivillac est dans un cas un peu similaire, même si dans l’immédiat on ne parle pas de fermeture. Nous avons proposé récemment à Arc Sud Bretagne que les écoles de Nivillac et Muzillac deviennent compétence communautaire, mais visiblement, la musique ne fait pas partie des priorités des membres du bureau d’ASB (alors que la compétence culture existe !). Muzillac va faire cavalier seul. Tant mieux pour eux s’ils en ont les moyens, mais quid des enfants des communes environnantes ?
Faute de mieux, nous avons dû demander pour la première fois en 2015 le prix coûtant des cours aux élèves n’habitant pas sur la commune et beaucoup ne sont pas revenus, les parents ne pouvant supporter de telles charges. Des enfants ayant commencé l’apprentissage d’un instrument se retrouvent sans rien, ou obligés de parcourir des kilomètres pour continuer. C’est toute une mission d’éducation à la culture musicale qui va disparaître localement. L’inégalité des moyens entre les villes et les campagnes devient plus que jamais d’actualité avec ces cas qui, j’imagine, ne doivent pas être isolés dans l’hexagone.
Bon courage pour la suite.