Durant les périodes pré-électorales, la diabolisation et les mensonges répétés n’ont pas déserté certains esprits retors qui, à défaut d’avoir appris à écouter, nous prouvent qu’ils peinent à réfléchir. Faute de légitimer leurs arguments, j’ai aussi parfois une très net impression que ces personnes sont de très mauvaise fois.
En ce qu’il me concerne, ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir qui va avoir le dessus du débat, mais de savoir pour comprendre comment nous pouvons tous vivre ensemble à Questembert dans les années qui viennent.
Le débat critique est nécessaire. C’est une grande faiblesse de refuser d’affronter les thèses opposées de façon claire. C’est frustrant pour les citoyens.
Ne pas cataloguer sans débattre, c’est plutôt salutaire et sain comme attitude, en tout cas plus courageux et moins hypocrite que de colporter des critiques, peut être justifiées, mais qui sans débat contradictoire, restent à l’état de ragots et de calculs forts commodes.
Monsieur Paboeuf semble prêt à défendre ses convictions ; ne doutons pas qu’il en sera de même pour Monsieur Burban.
Durant les périodes pré-électorales, la diabolisation et les mensonges répétés n’ont pas déserté certains esprits retors qui, à défaut d’avoir appris à écouter, nous prouvent qu’ils peinent à réfléchir. Faute de légitimer leurs arguments, j’ai aussi parfois une très net impression que ces personnes sont de très mauvaise fois.
En ce qu’il me concerne, ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir qui va avoir le dessus du débat, mais de savoir pour comprendre comment nous pouvons tous vivre ensemble à Questembert dans les années qui viennent.
Le débat critique est nécessaire. C’est une grande faiblesse de refuser d’affronter les thèses opposées de façon claire. C’est frustrant pour les citoyens.
Ne pas cataloguer sans débattre, c’est plutôt salutaire et sain comme attitude, en tout cas plus courageux et moins hypocrite que de colporter des critiques, peut être justifiées, mais qui sans débat contradictoire, restent à l’état de ragots et de calculs forts commodes.
Monsieur Paboeuf semble prêt à défendre ses convictions ; ne doutons pas qu’il en sera de même pour Monsieur Burban.