En fait, je n’ai pas encore lu l’article du monde, j’ai pioché directement à la source, dans ce livre... il faut que cela cesse, il faut que cela change... ce n’est pas possible d’utiliser les gens comme ça, ils n’ont rien, ils rament, ils survivent et... on les enfonce, on les culpabilise, il n’y a pas assez de mots dans mon vocabulaire pour décrire ce que je ressens... je pense à la Grèce à qui on a prêté de l’argent pour les aider, un prêt avec... intérêts bien sûr, se faire du fric sur la bête encore et toujours... j’ai complété l’article, j’avais été un peu vite...
je repense à ce qu’ont dit Jean-Pierre Bel et Paul Vergès le 1er octobre, lorsque le Sénat est passé à gauche ; je résume vite, mais ça faisait longtemps que je n’avais pas été émue à écouter un discours politique, non, en fait, c’était la première fois, je crois, que j’ai été émue d’entendre un tel discours... ça se résume en un seul mot : ensemble... et j’ai envie de rajouter... c’est tout...
En fait, je n’ai pas encore lu l’article du monde, j’ai pioché directement à la source, dans ce livre... il faut que cela cesse, il faut que cela change... ce n’est pas possible d’utiliser les gens comme ça, ils n’ont rien, ils rament, ils survivent et... on les enfonce, on les culpabilise, il n’y a pas assez de mots dans mon vocabulaire pour décrire ce que je ressens... je pense à la Grèce à qui on a prêté de l’argent pour les aider, un prêt avec... intérêts bien sûr, se faire du fric sur la bête encore et toujours... j’ai complété l’article, j’avais été un peu vite...
je repense à ce qu’ont dit Jean-Pierre Bel et Paul Vergès le 1er octobre, lorsque le Sénat est passé à gauche ; je résume vite, mais ça faisait longtemps que je n’avais pas été émue à écouter un discours politique, non, en fait, c’était la première fois, je crois, que j’ai été émue d’entendre un tel discours... ça se résume en un seul mot : ensemble... et j’ai envie de rajouter... c’est tout...