« La profession politique ne bénéficie plus du respect qu’on avait pour elle du temps où elle passait pour efficace, c’est-à-dire du temps du plein-emploi, avait-il confié au Monde (Le Monde 2 du 7 mars 2004). Aujourd’hui, on nous insulte, on nous veut pauvre et on nous moque. Nos rois aussi avaient leurs bouffons. Mais le bouffon du roi n’entrait pas dans la cathédrale. Aujourd’hui, les bouffons occupent la cathédrale et les hommes politiques doivent leur demander pardon. Ce qui fait que ne viendront plus que les ratés de leur profession. »
Dans l’article sur Michel Rocard dans le Monde
« La profession politique ne bénéficie plus du respect qu’on avait pour elle du temps où elle passait pour efficace, c’est-à-dire du temps du plein-emploi, avait-il confié au Monde (Le Monde 2 du 7 mars 2004). Aujourd’hui, on nous insulte, on nous veut pauvre et on nous moque. Nos rois aussi avaient leurs bouffons. Mais le bouffon du roi n’entrait pas dans la cathédrale. Aujourd’hui, les bouffons occupent la cathédrale et les hommes politiques doivent leur demander pardon. Ce qui fait que ne viendront plus que les ratés de leur profession. »