Le regroupement de la Communauté et du SIVOM impose de trouver les espaces nécessaires pour permettre à tous, salariés comme élus, de travailler dans de bonnes conditions.
L’idée de tout rassembler autour de la mairie peut paraître séduisante, mais encore faudrait-il trouver les espaces. Le PLU, suivant d’ailleurs le POS de 1994, a prévu un « emplacement réservé » au nord de la place, près du centre social, mais il faut que les propriétaires mettent en vente ! Quant à ceux qui se lamentent que le CCAS soit dans des « préfabriqués », ils devraient reconnaître que ce sont des constructions industrialisées de bonne qualité... Mais acceptent-ils de regarder les faits, avant de critiquer ?
Le bureau de la communauté avait exploré d’autres pistes, comme par exemple les bâtiments Grimaud de la rue Alain Le Grand. Devant l’ampleur des travaux d’adaptation, il a fallu renoncer et d’ailleurs le propriétaire en a pris son parti : il a fait raser le bâtiment pour y réaliser un immeuble neuf qui sera rentabilisé par du logement.
Ensuite, la communauté a examiné le terrain disponible au nord du centre de secours, mais lorsque l’opportunité s’est présentée d’acquérir les bâtiments de la CAM à la gare, le choix s’est imposé très vite : les ateliers du SIVOM sont neufs, la communauté doit aménager les terrains acquis d’Evialis Guyomarc’h et l’intérêt stratégique de la gare (voyageurs et fret) est inscrit dans le projet de territoire.
Y aura-t-il des créations d’emploi avec l’aménagement du parc d’activités ?
Il est toujours difficile de faire des prévisions... Mais l’expérience montre, en tout cas pour ceux qui regardent les faits sans œillères, que l’aménagement des zones d’activités permet le développement et la création d’entreprises.
Le siège communautaire à la gare ?
Le regroupement de la Communauté et du SIVOM impose de trouver les espaces nécessaires pour permettre à tous, salariés comme élus, de travailler dans de bonnes conditions.
L’idée de tout rassembler autour de la mairie peut paraître séduisante, mais encore faudrait-il trouver les espaces. Le PLU, suivant d’ailleurs le POS de 1994, a prévu un « emplacement réservé » au nord de la place, près du centre social, mais il faut que les propriétaires mettent en vente ! Quant à ceux qui se lamentent que le CCAS soit dans des « préfabriqués », ils devraient reconnaître que ce sont des constructions industrialisées de bonne qualité... Mais acceptent-ils de regarder les faits, avant de critiquer ?
Le bureau de la communauté avait exploré d’autres pistes, comme par exemple les bâtiments Grimaud de la rue Alain Le Grand. Devant l’ampleur des travaux d’adaptation, il a fallu renoncer et d’ailleurs le propriétaire en a pris son parti : il a fait raser le bâtiment pour y réaliser un immeuble neuf qui sera rentabilisé par du logement.
Ensuite, la communauté a examiné le terrain disponible au nord du centre de secours, mais lorsque l’opportunité s’est présentée d’acquérir les bâtiments de la CAM à la gare, le choix s’est imposé très vite : les ateliers du SIVOM sont neufs, la communauté doit aménager les terrains acquis d’Evialis Guyomarc’h et l’intérêt stratégique de la gare (voyageurs et fret) est inscrit dans le projet de territoire.
Y aura-t-il des créations d’emploi avec l’aménagement du parc d’activités ?
Il est toujours difficile de faire des prévisions... Mais l’expérience montre, en tout cas pour ceux qui regardent les faits sans œillères, que l’aménagement des zones d’activités permet le développement et la création d’entreprises.