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L’élan du père Noël

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Une candidate à l’élection municipale écrit pour dire ce qu’elle fera. Tout d’abord réduire les dépenses publiques. Immédiatement de 200 000 euros et cette somme sera restituée aux Questembertois. Faisons un petit calcul rapide : c’est en moyenne 6 euros par mois et par foyer de baisse d’impôts. Mais ce n’est pas tout...

Plan de circulation, fastoche !

Le plan de circulation sera revu...les places de stationnement existantes seront changées. Cela a un coût qui dépend bien sur du nombre de parkings concernés. Mais c’est au minimum entre 75 000 euros et 150 000 euros...pour quelque chose qui existe déjà. Là, on se dit que l’élan est tombé de la lune... D’autant qu’un groupe de travail penche sur le sujet depuis quelque temps déjà : information publique, donnée en conseil municipal, la désignation du bureau d’étude a fait l’objet d’une consultation.

Routes et fossés en campagne

Augmenter l’entretien des voies et fossés en campagne ? Alors là il s’agit d’un puits sans fonds...On peut y mettre 100 000 ou 200 000 euros par an, comme 500 000 euros ou plus. Et tant qu’à faire de l’éclairage public dans les villages. Coût ? 1 500 000 euros + les consommations annuelles : 50 000 euros. Et cela va-t-il dans le sens des économies financières et d’énergie voulues par les collectivités ? et annoncées dans le programme.

Enfin des priorités, une stratégie quoi !

Ensuite, il nous est dit que certains projets sont prioritaires :

Total provisoire : plus de 8 millions d’euros

Des économies en arrêtant des projets forcément mal pensés, hein ?

Mais ce n’est pas fini, on nous dit que des projets seront arrêtés. Je vois mal comment sera arrêtée la restauration de hostellerie le guennego, les travaux étant très biens engagés. Donc ce n’est pas là que des économies seront faites. Le nouveau cimetière à Célac ? Pourquoi pas, en sachant qu’un nouveau cimetière est nécessaire donc qu’il soit à Célac ou ailleurs, il faudra le faire.... (Tant pis s’il est inscrit dans le PLU depuis 2006) Si c’est ailleurs, les études engagées auront été payées en pure perte... Donc pas d’économies possibles de ce côté-là non plus. Le quartier de la gare ? Franchement, si rien n’est fait dans ce quartier, quelle triste image donnée à Questembert. Enfin la zac multisite....ne pas la faire, c’est garder l’ISSAT débout, en ruines...

Soyons fous : une grande usine à Questembert

Accueillir une grande usine à Questembert ensuite. Naïfs sont ceux qui croient que l’on attire des entreprises aussi facilement, même en leur proposant des terrains à prix cassés....ce qui a un coût : 1 000 000 d’euros ?
Le très haut débit, déjà prévu, est aussi source de dépenses. Elles sont évaluées à 450 000 euros sur 10 ans.

A cheval

Un grand projet faisant de Questembert une cité équestre. Quel coût ? car le bénévolat ne peut pas tout faire. 100 000 ? 200 000 ?

Bref quand je lis que « la gestion communale a besoin d’une reprise en mains », avec ce que je viens d’énumérer, ça ne semble vraiment pas être la direction prise. Je lis aussi que les comptables de la commune auront besoin de se former en haute voltige si Paul Paboeuf est réélu...Je pense que c’est plutôt dans le cas où la liste de cette candidate est élue qu’il faudra jongler avec les chiffres.

Alors baisser les dépenses communales ? Il ne faut pas croire au père Noël

Publié le mardi 11 mars 2014, par Opticon.

Messages

  • Toutes ces « propositions » de la candidate de l’opposition, à la limite du farfelu et du démagogique, ne témoignent que d’une seule chose : une profonde méconnaissance des dossiers et du fonctionnement d’une commune.

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  • Mon message est long, mais la lecture de la presse d’aujourd’hui m’a chauffé la bile...
    La presse est riche d’information ce matin. Autant Ouest France que Le Télégramme se penchent sur les propositions des candidats à l’élection municipale. Cette abondance d’informations mérite que l’on s’y attarde avec un peu d’attention.
    Le commerce, les commerçants et la commune
    Ouest France tout d’abord qui interroge les candidats sur les projets pour dynamiser la vie commerçante et l’animation autour des halles.
    A propos de vie commerçante, je remarque avant tout que les candidats passent sous silence le projet avorté d’implantation du super U, avec ce qu’il apportait, selon moi, de plus-value pour le territoire :
    - une réelle concurrence entre les grandes et moyennes surface de Questembert et donc plus de pouvoir d’achat pour les clients,
    - mais avec aussi une remise en cause des opérateurs déjà en place, ceux-ci ne manquant pas de remuer le chiffon rouge de la menace sur l’emploi, en passant sous silence les marges réalisées hier et aujourd’hui. Je crois me souvenir avoir lu des chiffres disant que Intermarché Super de Questembert réalisait plus d’excédent brut d’exploitation qu’Intermarché Hyper à Séné.
    - une réelle concurrence sur les prix des carburants : il est bon de se rappeler qu’à l’annonce de la venue du Super U, Intermarché, qui était parmi le plus cher du département, a baissé drastiquement ses prix,
    - une magasin d’articles de sports de 400 m2, commerce attendu par tous,
    - des terrains aménagés pour d’autres commerces et services...
    Bref passons sur ce sujet.
    Une candidate rappelle le ramdam provoqué par certains commerçants à propos de la taxe sur les enseignes. Il faut rappeler la décision UNANIME de conseil municipal (et non pas le maire tout seul dans son coin....de façon « autoritaire »...punaise ! Questembert est presque une dictature) d’instaurer la taxe locale sur les publicités extérieures en 2011. Les mots employés par cette dame sont intéressants : méthode autoritaire, liguer contre lui, endeuillé la ville....Quel triste perception de la commune et de l’action municipale. Ce n’est pas la mienne.
    La taxe locale sur la publicité extérieure : un frein au commerce ?
    Rappelons brièvement les objectifs de cette taxe. Les publicités, enseignes, pré-enseignes et panneaux de publicité, constituent, quand leur surface est exagérément disproportionnée à l’activité (au dessus de 12m2), une pollution visuelle supportée par tous. Par conséquent la loi propose d’appliquer le principe du Pollueur/payeur.
    On pouvait lire et entendre à l’époque que cela représentait 1000 euros par an et par commerces... En relisant les textes, en fait il s’agit de 15 euros par an et par m2 au-delà de 12 m2, en-dessous de 12m2, c’est O euro. Sans prendre mon mètre, on est donc loin des sommes annoncées...
    Et qui peut croire que plus l’enseigne est grande et plus le chiffre d’affaire sera important ? C’est prendre les clients potentiels pour des gogo...
    Mme MARTIN écrit : « (la TLPE) ce n’est pas le bonne méthode pour dynamiser les affaires ». Mais peut-être que si justement.... amener à faire réfléchir les commerçants sur leurs enseignes (« elle va me coûter 150 euros par an »), en leur proposant un guide et un diagnostic de leur commerce élaboré par un cabinet professionnel et payé par la mairie (gratuit pour les commerçants mais payé par l’ensemble des questembertois). Les inciter à faire une nouvelle enseigne, plus au goût du jour, plus dynamique (certaines enseignes à Questembert font peur et ne donnent pas envie, c’est clair) et dont la surface, diminuée, est exonérée de taxe...C’est une démarche cohérente de dynamisation des affaires, non ? La TLPE fait maintenant réfléchir à deux fois...
    L’Union commerçiale sait se mobiliser, mais pour quels objectifs ?
    Que dire de l’Union commerciale, que Mme Martin évoque ? Une chose : l’Udeq sait mobiliser les énergies pour aller contre une décision municipale et qui concerne la somme des intérêts particuliers (les enseignes de chacun), mais sait-elle se mobiliser pour autre chose, comme par exemple la dynamisation du centre ville ? A titre personnel, je n’en suis pas convaincu. Et à voir le salon de l’avenir ou le feu d’artifice organisés sur le parking d’une grande surface, au lieu du cente ville, ne me fait pas changer d’avis, bien au contraire.
    Quant aux bâches noires qui couvraient les enseignes et autres supports, je me rappelle avoir lu sur le net un commentaire d’un questembertois disant à peu près ceci : « merci aux commerçants d’avoir revêtues ces enseignes de bâches noires, cela nous permet d’apprécier, pour un certain nombre d’entre elles, leur inutilité et dans tous les cas de nous rendre compte des agressions visuelles que nous avons à subir quotidiennement ».
    Pour en revenir au dynamisme commercial, juste une dernière remarque : cela fait 8 ans que je suis (bien) à Questembert et on ne m’a toujours pas proposé la carte TY PLUS. Bon, sincèrement, je n’en veux pas mais quand même...
    Innover, dynamiser mais sans concurrence et surtout sans idées concrètes
    Je reviens à l’article de Ouest France de ce jour. Mme MARTIN remet en cause la rénovation de l’hostellerie Le Guennego. Libre à elle.
    Mais sincèrement, ce bâtiment, délabré, méritait absolument une restauration. Je ne sais pas ce qu’elle entend par projet « consensuel et contributif de dynamisme ». Si en fait, je crois comprendre : le consensus, c’est d’ouvrir un pas de porte commercial mais qui ne fasse pas de concurrences aux commerçants en place....Dans ce cas, je vois mal comment dynamiser le centre ville, si c’est en se répétant qu’il fait faire quelque-chose mais surtout pas de concurrence....C’est l’élan qui se mort la queue.
    Au final, Mme MARTIN se donne pour objectif de voir les halles animées (comment ?), mieux éclairées (à quel prix ?), un cœur de ville en permanence plus attractif (comment ?), des commerces diversifiés (où ?)....mais ne propose rien de concret.
    Des idées simplistes aux préjugés nauséabonds
    Quant au Télégramme, à travers un article général qui m’a fait sourire, il évoque la possible dispersion des voix entre la droite, mais qui n’est pas à droite, et la droite, mais qui est a-politique. Je m’y perds : s’agit-il d’une élection de délégués de classe ou d’une élection municipale ?
    Mais ce n’est pas le sujet qui m’intéresse ici. Par contre je note la volonté de Monsieur Rouillard de créer une grande zone industrielle au Petit Molac. Voilà une belle intention déjà évoquée dans des articles de Ouest France : l’idée de génie, celle à laquelle personne n’avait pensé : faire venir LA grande entreprise, pourvoyeuse à la fois de recettes fiscales et d’emploi... Je crois qu’une réponse à ce thème à déjà été apportée sur ce site.
    Quant aux propositions et propos de Madame MARTIN, trois points attirent mon attention dans cet article.
    Le premier, c’est la promesse de réduire les dépenses dès la première année de 400 000 euros. Hé ! Je croyais, à en lire la presse la semaine dernière, que c’était 200 000 ? A ce rythme là, dans 10 jours, ce sera 800 000 euros.Tous ces chiffres finissent par m’embrouiller. Mais c’est peut-être là le but recherché...
    Ensuite, c’est la baisse des impôts de 1 point. Pourquoi pas...personne ne peut être contre cette idée de moins payer d’impôts, sauf que...
    Sauf que moins d’impôts veut dire moins de service public ou un service public plus cher à l’usager. Personnellement, si on me propose de payer 70 euros d’impôts en moins par an, mais qu’en contrepartie, la cantine de mes deux enfants me coûtent plus cher, passant de 3 euros à 5 euros (+ 480 euros), ou mon abonnement à la médiathèque bondissant de 12 euros à 50 euros (+38 euros)...je ne vois pas bien le bénéfice pour mon porte-monnaie.
    Enfin, et c’est là un point qui me hérisse le poil et pour lequel, à l’origine, j’ai décidé d’écrire aujourd’hui (j’ai été un peu long, c’est vrai), ce sont les propos de Mme Martin tenus dans le Télégramme du 11 mars à propos des problèmes d’incivilités. Cette dame, porte-parole des candidats « Questembert , nouvel élan » dit : les problèmes d’incivilité « sont pesants » et dus à la présence des logements sociaux « trop nombreux sur la commune ».
    Quel beau raccourci intellectuel ! Qui n’a rien d’intellectuel d’ailleurs, ni de beau, non plus. Quelle idée simpliste et démagogue ! Quelle piètre perception de la commune et quelle mauvaise image donnée !
    Le week-end prochain, à l’apéro chez des amis vannetais, la question suivante ne manquera pas de sortir entre deux verres de blancs et trois chips :
    Mes amis : « mais c’est vrai qu’il y a beaucoup de hlm où c’est la zone à Questembert ? ».
    Moi : « ben non, pas du tout ».
    Eux : « pourtant, on l’a lu dans le journal »
    Moi : "Merci Mannick MARTIN ».
    Pour conclure, j’ai vraiment l’impression de ne pas vivre dans la même ville que Mme MARTIN et ses colistiers et surtout de ne pas partager les mêmes principes fondamentaux du bien vivre ensemble.
    Mais je vous en laisse juge.
    Certains jours, il vaut mieux ne pas lire le journal.

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  • J’ai du mal à voir une cohérence dans la foire au déballage que nous propose ce nouvel élan. Si la gestion du portefeuille de la commune est à l’image de la gestion du portefeuille d’idée, l’élan nous emmènerait vraiment dans un gouffre.

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  • Décidément, la presse, en l’occurrence Ouest France, s’intéresse de près à Questembert en cette période pré-électorale. Dernier thème abordé : les projets des candidats pour les familles et la jeunesse... Comme je me sens concerné, je me permets de réagir à certains propos notamment ceux de Madame Martin et de ses colistiers. Ceux qui ont lu ma première réaction ne seront pas surpris, pour les autres, je les invite à les lire ici.
    La réforme des rythmes scolaires, finalement c’est mal
    Madame Martin dit que c’est mal, mal fait, fait de façon autoritaire. Hé ! Encore une fois c’est la dictature à Questembert...je me demande bien pourquoi on est appelé à voter !. Bref, Madame Martin nous fait part de ses idées fantasmées, du mécontentement général...En ignorant pas mal de choses au passage...
    En tant que parent d’élèves, j’ai répondu à un questionnaire fait par l’amicale laïque qui me posait clairement des questions sur ce qui allait bien et moins bien. C’était au mois d’octobre...Il faut croire que ce questionnaire a été transmis à la commune puisque c’est nettement mieux depuis janvier. La réunion de présentation des Tap à la fin de l’année était aussi très enrichissante et permettait de savoir ce que les élèves (nos enfants) faisaient.
    Je ne sais pas pour vous, mais quand je demande aux miens ce qu ’ils ont fait aujourd’hui...la réponse peut venir 2 heures après...ou pas.
    Je sais tout de même que les ateliers TAP sont appréciés, le miens apprennent, différemment, des choses complémentaires à l’enseignement délivré par les enseignants. Les candidats de Nouvel Elan promettent que leurs décisions concernant les rythmes scolaires seront étayées par « des études impartiales et objectives, prenant en compte la réalité sociogéographique et économique des familles ». La vache, ça en jette, mais ça veut dire quoi ?
    Si c’est pour dire que 90% des élèves scolarisés habitent Questembert, que 65% des parents travaillent le mercredi, que la majorité des familles sont composées d’une femme et d’un homme, ou que 70% des filles de cycle 3 adorent Violetta et 67,5% des garçons de cycle2 jouent au powerblade... alors pas besoin d’une étude.
    Mais plus sérieusement, Madame Martin parlent de « dérogations possibles » à étudier... Quelles dérogations possibles ? A ma connaissance, il n’y en a pas. La commune doit appliquer les textes réglementaires sur les nouveaux rythmes scolaires, dans le cadre d’un programme validé par l’Education nationale... C’est mensonger que de laisser croire aux parents qu ’ils pourront choisir, ou pas, d’emmener leurs enfants le mercredi matin à l’école, qu’il y a d’autres choix possibles... mensonger encore de laisser croire que l’école pourrait avoir lieu le samedi matin...
    Un service public à la carte
    Et puis là, je tousse ! Madame Martin écrit qu’elle « ouvrira le centre de loisirs » le mercredi matin pour les écoles qui ne voudraient plus appliquer la réforme. Très clairement ça veut dire que la mairie paiera de la garderie pour les enfants de l’école Notre Dame, si celle-ci décide de ne plus faire cours le mercredi matin, et de l’école Diwan. Car c’est bien de cela qu’il s’agit puisque les écoles privées et associatives n’ont pas l’obligation de faire cours 9 demi-journées par semaine.... Ce qui, entre parenthèse et selon moi, est une erreur du gouvernement.
    Mes amis vannetais, toujours à l’apéro, entre deux verres de rosé et 3 cacahuètes, me disaient hésiter à mettre leurs enfants dans le privé car comme cela, ils (leurs enfants mais aussi eux, parents) n’auraient pas s’adapter aux nouveaux rythmes scolaires... Madame en l’occurrence gardant son 80% pour pouvoir emmener ses enfants au foot et à l’équitation. Très clairement, l’enseignement privé vannetais a fait le choix « commercial » de ne pas faire cours le mercredi matin, ce principe de « pas d’école le mercredi matin » devenant un argument marketing au même titre que les jeux dans la cour ou le voyage en juin pour les CM2... au détriment des phases d’apprentissage des enfants. Mais je m’éloigne des considérations questembertoises....
    Autres promesses : de la piscine et du cheval
    Je ne sais pas pour vous, mais moi, ce que j’attends de l’école c’est qu’elle délivre les savoirs fondamentaux à mes enfants : lire, écrire, compter, esprit critique, connaissance du monde et de son environnement, motricité...etc. Savoir nager fait partie de ces fondamentaux. Madame Martin promet de « mettre tout en œuvre pour que les écoliers puissent aller à la piscine du CP jusqu’au CM2, afin de savoir nager ». Mais c’est déjà le cas ou je me trompe ?
    Après je veux bien croire que certains enfants ne maîtrisent pas la natation à la fin du CM2. Mais la natation, c’est comme la lecture, il y a le travail en classe, mais aussi le travail à la maison... Malheureusement, c’est vrai que tous les parents n’ont pas envie ou les moyens d’accompagner leurs enfants à la piscine...c’est comme pour les devoirs le soir.
    Et le dernier point mais pas le moindre... Nouvel Elan « offrira à tous les jeunes des écoles l’occasion de monter à cheval ».
    Les mots ont leur importance : offrir, cela veut dire qu’il s’agit d’une activité gratuite pour les familles, mais dont le coût sera supporté par la commune.
    Monter à cheval ? Quel intérêt. Si c’est monter une fois, ça n’a pas de sens. Donc il faut plusieurs séances... qui s’inscrivent dans quelles démarches, dans quel projet pédagogique, à quel coût ? Et si j’avais l’esprit mal placé, je me poserai la question de savoir par qui ces activités seront encadrées ?
    Bref, encore une fois, ce n’est pas ainsi que je conçois l’action politique qui ne doit pas être, mais alors pas du tout, la somme des intérêts particuliers à laquelle on ajoute des promesses irréalisables.

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  • encore une fausse bonne idée du nouvel elan : des bourses pour les étudiants en médecine.
    Réponse de Mme Martin à Ouest-France
    « Mais la pénurie de médecins généralistes s’accroît. Afin d’écarter cette menace au plan local, nous ferons jouer les dispositions de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. Cette loi prévoit la possibilité, pour une collectivité territoriale, d’allouer des bourses aux étudiants en médecine, en contrepartie de leur engagement à exercer au minimum durant cinq ans comme médecins généralistes dans les zones sanitaires identifiées comme déficitaires. »
    Sauf que les dispositions de la loi en question ne s’appliquent qu’aux territoires prioritaires comme on le voit sur la carte diffusée par l’ARS (Agence Régionale de Santé)
    http://www.ars.bretagne.sante.fr/fi...

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    • Mais alors que faire pour enrayer cette hémorragie ? car vous n’êtes pas sans savoir que nous formons moins de médecins qu’il en part en retraite,et que nombre de généralistes qui exercaient dans des communes limitrophes (limerzel, rochefort.....) ne sont pas remplacés, situation qui risque a court terme de nous mettre en territoires prioritaires. Alors bien sur, il y a cette solution d’aller chercher des medecins dans des pays étrangers, a qui il faut tout donner ou presque(cabinet, logement, voiture....) mais souvent l’adaptation ne se fait pas,ce qui a tendance a déstabiliser une population vieillissante ; sans compter que l’on doit faire appel a des sociétes de « chasseur de tetes » qui n’ont pas pour vocation d’etre des associations caritatives !!!! alors oui cette solution d’aider financierement peut’être une piste , sans compter que si cela donne la possibilite a un jeune, dont les parents ne peuvent assumer les couts d’études de medecine, de pouvoir accéder a cette profession, ce sera un bel exemple d’ascenseur social !!!!

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  • Questembertois depuis plus de 20 ans, je suis la campagne des municipales de près et cette année je me régale !!
    - Trois listes à Questembert, c’est super. Super de voir que 87 personnes sont prêtes à s’investir pour leur commune, pour le bien de leurs concitoyens. Je constate quand même que beaucoup ne sont « visibles » que deux mois tous les six ans et que le reste du temps ils s’occupent de leur petite personne. Si c’est une vocation tardive, il y a des associations à Questembert qui acceptent les bénévoles, n’hésitez pas vous serez bien accueillis.
    - Des listes apolitiques qu’ils disent !! ils se moquent du monde !! c’est le cas un peu partout c’est vrai mais à Questembert le fil est un peu gros.. pour qui suit un peu les parcours des candidats.
    - Mais le Top c’est le défilé des « vestes vertes » sous les halles, à la sortie de l’église, parkings des grandes surfaces...tiens pourquoi les grandes surfaces ? Extraordinaire et avec la musique s’il vous plaît ! Est-ce bien sérieux tout çà ? La commune a d’abord besoin de gens compétents, discrets et ..expérimentés si possible. Qu’ils continuent ainsi, ils vont même réussir à choquer leurs amis « apolitiques ».

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